'E non ti dirò mai
non tormentarmi più l'anima...
...Nello sconcerto
mi guardo
mi chiedo
se ho paura di perderti
oppure...é la paura di averti....
Ma mai ti dirò
non tormentarmi più l'anima...'
~ Catherine La Rose ~
non tormentarmi più l'anima...
...Nello sconcerto
mi guardo
mi chiedo
se ho paura di perderti
oppure...é la paura di averti....
Ma mai ti dirò
non tormentarmi più l'anima...'
~ Catherine La Rose ~
'L'essere...
anche con il corpo essere
l'essere avvolta
in un'attillata veste
in un tormento d'Amore...
labirinti cieli d'assolvere...'
~ Catherine La Rose ~
anche con il corpo essere
l'essere avvolta
in un'attillata veste
in un tormento d'Amore...
labirinti cieli d'assolvere...'
~ Catherine La Rose ~
Il fréquente d'abord l'Institut Saint-Luc à Tournai, fait ensuite un bref séjour à l'Académie de Mons, puis est reçu, après une incursion mouvementée dans la vie de bohème, dans l'atelier de Louis Van Lint, à Saint-Luc, Bruxelles.
En 1967 il entrera à son tour dans l'enseignement et sera pendant dix ans, chargé de cours à l'Institut Supérieur des Communications Graphiques, ensuite professeur à Saint-Luc Bruxelles, jusqu'en décembre 1998. Marqué, brièvement, à ses débuts par ses professeurs, il crée une peinture esthétisante, dépouillée et vigoureuse, aux limites de l'abstraction (1968).
Vient ensuite une période expressioniste et tendue aux couleurs violentes où la composition s'articule généralement autour de la diagonale et du triangle, composition qui restera constante chez Dufoor quel que soit son vocabulaire pictural. En même temps naissent aussi de grands dessins noir et blanc qui lui vaudront plusieurs sélections au Prix Jeune Peinture Belge ainsi que le Prix de la Vocation (1968/70).
Peu à peu cependant la forme humaine s'impose (1971/75) dans une nouvelle figuration réaliste "comprendre l'être ou l'objet paraît plus important que sa représentation".
Néanmoins le souci du rendu fidèle le pousse à étudier les maîtres anciens et leur technique.
De nombreux séjours à New York le convaincront de l'importance du réel qu'il traque, lui le Tournaisien, avec une patience de primitif flamand (Roger de Le Pasture est lui aussi de Tournai).
Dès lors (1978), travaillant sans discontinuer ses deux thèmes de prédilection: la figure humaine et de grandes natures mortes, il jette un regard de qualité sur son environnement immédiat, l'atelier, ses outils de travail, ses pots de couleurs, ses gerbes de pinceaux... jetant un pont entre les leçons d'Ingres, de l'intimisme et de l'hyperréalisme subrepticement distancié.
Chère Madame , j'ai été étonné et un peu contrarié de découvrir votre blog ou je figure en bonne place, j'aurais pour le moins , pu être consulté avant de publier les photos de mes oeuvres, ceci dit ce blog n'est pas trop mal fait, les photos sont bonnes et je me demande même comment vous avez fait pour en avoir certaines que moi même je ne crois pas posséder encore, pourriez vous me contacter, cela m'interesse, je suppose que vous avez également l'adresse de mon atelier à Ixelles ou Marrakech.
RispondiEliminaAu plaisir de faire votre connaissance
Frederic dufoor