Non so...
se stare sveglia per guardarti
od addormentarmi
con la speranza di non sognarti
per non svegliarmi
di nuovo
ed ancora
con il tuo sapore
dell'attesa
della impaziente voglia di averti...
di ~ Catherine La Rose e Maria Laterza©2011 ~
tratto da "Quella maledetta voglia di averti..."
od addormentarmi
con la speranza di non sognarti
per non svegliarmi
di nuovo
ed ancora
con il tuo sapore
dell'attesa
della impaziente voglia di averti...
di ~ Catherine La Rose e Maria Laterza©2011 ~
tratto da "Quella maledetta voglia di averti..."
Mi lusingò
il tuo sguardo
imboscato nel mio
silente
e provocatorio...
Dapprima delicato
sussurrò d'Amore
poi
irruente
mi trafisse
come un tuono...
~ Catherine La Rose©2012 ~
il tuo sguardo
imboscato nel mio
silente
e provocatorio...
Dapprima delicato
sussurrò d'Amore
poi
irruente
mi trafisse
come un tuono...
~ Catherine La Rose©2012 ~
Gustave Joseph Marie Brisgand, né le 29 novembre 1867 dans le 17e arrondissement de Paris et mort le 4 juillet 1944 à Saint-Mandé, est un peintre et pastelliste français. Peintre académique, il s'est surtout spécialisé dans les portraits de femmes et les nus féminins.
Il est le fils d'un cocher de fiacre parisien, né en Haute-Savoie.
Gustave Brisgand est l'élève d'Auguste Allongé, puis de Tony Robert-Fleury et de Jules Joseph Lefebvre, lui-même élève d'Ingres. En 1893, il commence à exposer au Salon des Artistes français, où il exposera jusqu'en 1936.
Pendant sa première période, il brosse essentiellement des paysages. Puis, s'inspirant d'Alphonse de Lamartine de Victor Hugo et d'Albert Samain, il compose des pastels sensuels : Extase, Salomé, Tentation, etc.. « Lorsque Brisgand alla aux États-Unis, les reporters du Nouveau Monde, qui aiment les formules définitives, le saluèrent comme "le technicien du corps féminin" (technician of the woman's figure). L'artiste le raconte en riant, car c'est un homme d'esprit. »
Vers 1910, invité à la cour d'Angleterre, il fait le portrait de la reine Mary. Il réalise également les portraits de Polaire, Monna Delza, Lucie Delarue-Mardrus, Charlotte Lysès, Gaby Deslys, Gabrielle Colonna-Romano, Jane Renouardt, Stacia Napierkowska, Renée Falconetti, Yvonne Printemps, la Bégum, Renée Dahon, Marlène Dietrich, Jean Harlow, Meg Lemonnier, Yvette Chauviré, Aston Knight et le général Gamelin. Ses peintures et ses illustrations ont été publiées dans les revues L'Illustration, Le Figaro artistique, Les Annales politiques et littéraires, Fantasio et Le Théâtre.
Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en 193419. Il se marie en 1901 avec l'actrice Jane Sabrier, dont il divorce, puis en 1926 avec Catherine Ferber, dont il divorce également.
Plusieurs expositions personnelles lui ont été consacrées : en 1911 à la galerie Arthur Tooth & Sons, en 1918 à la galerie Georges Petit, en 1922 à Rio de Janeiro, en 1924 en Égypte, en 1927 à la galerie Gérard Frères et en 1936 à la galerie Raphaël Gérard.
Un album est paru sur lui dans la collection « Drogues et peintures », album d'art contemporain, édité par les Laboratoires Chantereau.
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